Nom: Tongogo
Prénom: Azîm
Surnom: Tonton Moonight
Âges: 33 ans
Sexe: Mâle
Grandeur: 6 pieds 2
Poids: 220 lbs
Provenance: Togo
Race: Vampire
Clan: Samedi
Génération: Ce que vous aimez: Me trouver au centre du dance floor sur la chanson « King Africa»
Ce que vous n'aimez pas: Les gens qui croit que l'Afrique ce n'est que le tier monde
Votre buts dans la vie: Rouler la bussiness de mains de maître
Travaille: Barman
Attitude: Décontracté et à la fois sure de lui
Nature: Fêtard
Sabbat: Camarilla: Indépendant: Secte: Sabbat
Vous voulez connaître toute mon histoire alors la voici :J’ai vécut tout mon enfance dans une petit tribut, au combien isolé et perdu dans le confins de mon pays d’origine le Togo. Tout les habitants été guidé par notre shaman et père spirituelle DADA AMÉDÉ
qui était mon paternelle en fait. Les pouvoirs que nous détenions étaient ancestraux et ce transmettait de père en fils depuis l’ouverture de ce monde par le grand Baron Samedi.
Le village était déchiré par une sombre maladie un mal terrible (sida), nous ne savions comment s’en débarrasser. Les gens du village inquiet de cette prolifération pernicieuse coururent quérir le grand shaman pour bénéficié de ces sages conseilles. Je n’avais alors la que 7 ans, j’étais resté caché derrière le mur central de la hutte pour espionner la conversation :
« Grand shaman nous ne savons que faire chaque jours de jeunes parent meurt laissant à l’abandonnant leur enfants. Les orphelins deviennent de plus en plus présents dans les rues du village et les gens sont de plus en plus inquiets. Nous avons besoin de tes sages conseille.»
Mon père leur promis une solution, il rentrerait cette nuit en contact avec le puissant dieu, OGAN, protecteur des fidèles et des le levé du soleil il apporterais la solution que la douce nuit lui aurait chuchoté à l’oreille. Toute la nuit je le vis danser au milieu du salon en vociférant de drôle de prière et de demande. Le lendemain comme promis mon père apporta la solution : « Chaque personne atteinte de cette maladie doit avant le lever de la troisième pleine lune annuelle user d’un droit de première nuit avec un être plus jeune que lui.» Comme la majorité des gens atteint était dans l’âge de la trentaine ils ne tardèrent pas à exécuter la demande du shaman et il alla trouver de jeunes vierges dans la vingtaine. Ce fut une chaîne interminable jusqu’à ce que les gens désespéré s’attaque à de jeune enfant et à de nouveau née.
Mon père, expliqua que le Baron Samedi avait sans doute apprit qu’il avait quérir l’aide d’une autre divinité et sans doute la maladie s’avait renforcit. Une nuit je dormait profondément dans la même me petit chambre que mes trois sœurs. Il ventait terriblement dehors et la nuit semblait épaisse. Je me réveilla en sursaut, j’avais entendu un bruit venant de l’extérieur, le vent sans doute me dis-je ou peut-être un de ces stupide Dingo affamé. Je refermai mes yeux et tenta de faire le vide dans ma tête. J’entendis a nouveau un bruit, j’en était certain. Quand j’ouvris mes yeux, je ne pu bouger. J’étais pris de stupeur, et mon pantalon s’avait sans doute mouillé. Une main était logé sur ma bouche , m’empêchant ainsi de crier et un couteau dansait sous ma gorge m’incitant également à ne rien tenter. Je balaya mon regard dans la pièce, l’homme qui me tendait le poignard n’était pas seul
, car je vis ces trois autres complice agrippé solidement mes sœurs. Elles avaient respectivement 5,12 et16 ans. Il me siffla dans l’oreille : « Laquelle veut-tu qui goûte à mes faveurs en premier.» Ta petit sœur toute jeune, peau de pêche les jambes a peine écarté, la seconde moins jeune mais très fertile ou la plus vieille mature et près à connaître les plaisirs de l’homme. Je me mis à me débattre, mais sa force me garda coucher au sol j’était démuni et abandonner de tout espoir. Soudain l’un d’eux déclara : « Et pourquoi pas un petit garçon …». Mes yeux crièrent de frayeur…. Sans doute celui-ci était pédophile au point de ne plus se poser la question entre un petit garçon ou une petit fille. Le jeu ne tarda pas a commencer l’un deux prit la plus vieille contre le sol. Elle résista avec ferveur, mais il l’assomma plusieurs fois contre le sol ces cheveux entre ces mains serré. Il lui écarta les jambes et se mit à la violer. Les autres firent de même et embarqua dans le petit jeu. Je ferma mes yeux un instant et tenta de quitter se sombre cauchemar j’étais bien présent. Je restai les yeux remplis de rage, de colère et de vengeance fixé sur les agresseurs quand je remarquai un visage étrange. L’un deux semblais en carence….mais de quoi. Il regarda les deux autres…et puis à mon grand désarroi, prit une morsure dans le coup de ma sœur cadette. Le sang giclais et lui s’abreuvait comme le ferais un drogué, déménagé loin de sa substance chérie. Les deux autres se mirent à acquiescer de sourires des plus effrayant. Ma plus jeunes sœurs était complètement effrayé elle pleurait et criait a`tout rompre, mes ses cris étaient étouffé par la main de l’agresseur. Celui-ci demanda qu’on lui prête un couteau… L’homme qui me tenait se retourna une seconde pour sortir un second poignard. J’en profita pour le frapper avec toute ma rage du monde et m’enfuir en courant,mais il m’agrippa par le bras… La fuite était impossible, il ne me resta qu’à crier de tout mon être, je lâcha le plus gros AU SECOURS PAPA de toute ma vie…. mais la fin de mon cris fut stopper par la douleurs que mon être ressentais. Voyez vous, ces dents étaient profondément planter dans ma jugulaire et la morsure très profonde. Mon cri avais par contre éveillé mon père qui accouru arme en mains, il asséna quelques coût de son poignard vaudou aux agresseurs en déroute.
Je me réveille parfois la nuit avec les voix de mes sœurs hurlant de douleurs. Leur mort me hante et ma vengeance n’a jamais réellement eu lieu. À l’âge de 15 ans, mon père m’enseigna la base du vaudou, je commençai à sacrifier des animaux, chasser les mauvais esprits et parfois même consulter nos dieux. Un beau jours j’apprit que les même assaillants de ma sœurs qui avaient sévit également ailleurs était débarqué en amérique.
Connaissant, l’ampleur de mes nouveaux pouvoirs à la fois shamanique et vampirique, je compris que ma vengeance ne tarderait pas. Je me dirigea vers Port-Ouktou pour me cacher dans un cargo voyageant tout droit vers les amériques.
Mon arrivé dans le port de Montréal fut des plus déplaisants, j’étais assoiffé et le voyage m’avait fortement endommagé. Ma première victime en sol d’Amérique fut une pute. Ma morsure l’avait fortement endommagé et aux nouvelles on en parla que d’un fou enragé circulant dans les rues de Montréal et mordant le coup des prostitués. Vous avez bien comprit, j’étais attiré par ce type de victime. Leur peau blanche et satiné, et personne ne sans souciait réellement. Je m’aperçu rapidement que je ne pouvais pas morde avec douceur. La morsure était toujours profonde et mes victimes criaient tout le temps de douleurs. Je ne pouvais pour je ne sais quelle raison mordre une personne de couleur noires. La mort de mes sœurs avait peut-être agit comme une barrière psycho vampirique. En Afrique, pour survivre, je ne faisait que m’abreuver de sang de coq et de canidé sauvages. Ces nombreuse années à m’abreuver des ces espèces animal avait peut-être développer en moi ce côté à la fois vif et nerveux, et mon autre côté fonceur et sans pitié.
Je grandis dans les rues du centre-ville changeant de travail à tout les mois. J’essayais quelques fois de recueillir des indices sur des agresseurs d’enfants. En rentrant en Amérique il savait peut-être joint à une importante cellule.
Je finis par ouvrir mon bar et gagner en réputation. On me connaissait sous le nom de Tonton Moonight, et mon bar le Moonight Club était reconnu partout au centre ville pour son ambiance chaude et tropicale et ces boissons les plsu rafraichissante
.
En rentrant dans mon bar, vous tombez dépaysé par une faune et une flore importante, partout des fougères,des arbres africains, des perroquet , des serpents et même des torentule étaient usé comme décoration. Sauf qu’ils étaient bien réels. Clandestinement, j’organisais dans le sous-sol du club des combats sauvages opposants hommes ou fauves. On me connaissait partout comme le plus grand contrebandier de Montréal entre l’Afrique et l’Amérique. J’aimais également mon travail dans le domaine des escortes…. J’ai toujours aimé les femmes et elles me l’on toujours bien rendu
. Si vous êtes seul ce soir, appelez Tonton Moonight, je peux vous trouvez la partenaire idéal, vampire ou non.
Ces derniers jours j’était plongé dans mes rites vaudou avec un vieille ami à mon père un vieux shaman très puissant qui m’aide à purifier mon âme de tout le matérialisme d’Amérique, il ne désespère pas et moi je pense encore à mes amours perdus (mes sœurs). Je n'ai pas arrêter de m'entraîner à l'art de la lance de guerre, autrefois apprit par mon vénérable père qui avait été un fervant partisan. Avec cette arme nous chassion de puissant et féroce animaux, pour poruver la valeur au combat et le courage du combatant. La première créautre que j'ai tué a étét un puissant rhinocéros blanc, un animal à la fois très rare et très puissant. J'ai été lacéré a plusieurs reprise j'ai même manqué de finir empalé par sa corne, mais dans un dernier effrot de guerre je lui est tranché la gorge, après que son sang se soit dispersé sur el sol j'ai mangé son coeur et je me suis baigné dans son sang, le sang de la victoire. J'ai apr la suite pris sa peau rigide comme le rock pour m'en faire une armure de geurre.
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